Comment remercier pour ce si petit fil d’espoir et de salive de respiration fine que semble parfois confier l’air aux poumons de silence ? Il dit si je réchappe… mais la mousse rattrape l’élan bleu à vouloir vivre sans cesse, sans fin et à se résigner dans la pourriture verdie des poumons d’oiseaux autrefois jadis et d’espace dans tes poumons d’oiseau éphémère
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