il croit qu’il est sauvé et d’un coup cette sensation de libération comme les convalescences d’enfant et puis grandit la poigne de la mousse s’élargit comme un faisceau de plumes dans l’arbresle des poumons et pluine d’étoiles en fer au centre des carrefours de neige rejoint cette sensation d’être bloqué à jamais dans la mâchoire du poisson qui plus jamais ne saisit l’air des libellules mais seulement la bouche ouverte tendue en vain vers l’unique ruisseau de l’espace
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